mardi 9 avril 2024

Leurre et argent du leurre !

Erby
La lecture a ceci d’authentique qu’en vous occupant l’esprit vous empêche de dire des sottises, et, surtout, de les écrire !
En ce moment, je lis les révélations sur l’orchestration de la fausse pandémie ayant pour but d’exercer un contrôle de masse absolu et je me dis qu’il est temps d’écrire un brin, même si... 
C’est en Allemagne que le missile a explosé, révélant jusqu’à quel point les responsables de la classe politique et du pouvoir avaient été informés dès le début que le Covid était moins dangereux qu’une grippe saisonnière, mais qu’il était impératif de tester le degré de soumission des masses et, pourquoi pas, réussir le fameux « coup d’essai, coup de maître » !
Les mesures prises pour parer à un danger, montées de toutes pièces, étaient non seulement inutiles, mais très nuisibles d’un point de vue psychologique pour la santé des personnes et des sociétés. Ce déséquilibre voulu trouvant son point culminant dans la destruction des économies nationales et la mise au pas des populations, avec l’ombre violente de l’autorité planant sur l’ensemble comme dans une production cinématographique de très mauvais goût.
Cette domination par la terreur s’accompagnant par des injections, dont les décideurs – tous ceux en qui nous avions « confiance » – savaient qu’elles étaient, au mieux, inefficaces, la pudeur empêchant encore aujourd'hui de mettre sur la table le dossier des « effets secondaires néfastes » que ces piqures expérimentales ont entraînés.
Ceux qui savaient, ou se doutaient de la manipulation, qui l’ont inlassablement dénoncé sans céder un pouce de terrain, payant au prix fort leur audace, ayant perdu le travail et connu la dégringolade et l’opprobre, sont aujourd'hui en droit d’exiger !
Bien sûr, tout ceci se passe chez les voisins allemands. Rien à voir avec la France et des médias touchés par le « syndrome du larbin » !
Comme souvent, notre pays a pour le silence une adoration sans limites. Comme d’habitude, on nous dira qu’on ne savait pas, qu’on croyait bien faire. Qu’une autorité supérieure et occulte intimait l’ordre, sous peine d’avoir des morts sur la conscience ! Et quoi de plus consciencieux que de la fermer !
Le crétin surdosé (arrêtons de nous apitoyer sur son sort !), que l’on a cherché à alerter, vous prenant pour un fou, vous salissant jusqu'à la démesure, aura toujours du mal à admettre qu’il a passé les bornes, parce qu’il n’accepte pas l’idée de s’être trompé au point de risquer sa peau et celle de ses proches par excès de zèle !
Quelle gueule va-t-il faire quand il apprendra que toutes les mesures de contrainte ont été ordonnées par les politiciens et les militaires, sans de vrais débats scientifiques, et contre l’avis d’experts mondialement reconnus ?
Nuremberg 2 ou pas de Nuremberg du tout ? 
Il serait temps d’admettre que ce plan fait partie du projet mondialiste de contrôle social et de dépopulation. Sans passer sous silence la destruction des nations par la dette et immigration massive, vous plaçant d'office chez les complotistes ou, ultime avatar du déshonneur, de militant d’extrême-droite !
Ne pas oublier cependant que, parmi les futurs « éveillés », il s’en trouvera dès opportunistes faussement repentis, qui, après avoir farouchement milité pour la vaccination et l’ostracisation de ceux qui la refusaient, se présenteront comme des résistants de la première heure ! 
 
Ni oubli ni pardon ! 
 
Sous l’Casque d’Erby
 

 

mardi 2 avril 2024

Notes de lecture - Albert Londres, l’exemple

Une librairie, c'est comme une recherche sur le Net : on s'y rend pour se procurer un ouvrage, on repart avec d'autres. C'est ainsi qu'allant chercher un titre qui tardait à arriver, je saisis une série de petits bouquins d'Albert Londres. En fait, j’étais venu chercher « Sur les chemins noirs » de Sylvain Tesson. J’aime l’écriture et l’esprit de monsieur Tesson. Une autre fois, je parlerai de son magnifique et très éprouvant « Berezina » que j’ai beaucoup aimé...

Homme de santé fragile, mais à l'énergie farouche, Albert Londres est né à Vichy en 1884 et mort dans l'incendie d'un bateau qui le ramenait de Chine en 1932, à l'âge de 48 ans. Entre ces deux dates, il s'était forgé une sacrée réputation et donné au journalisme ses lettres de noblesse.

De voyage en voyage, Albert Londres a dessiné les contours d'une géographie mentale avec la curiosité pour viatique et la justice pour obsession. De reportage en reportage, il a façonné des chemins impraticables, jeté des ponts d'une rive à l'autre pour que, dans sa diversité, l'homme découvre ce qui l'unit ou le sépare, en bien ou en mal.

Forçats de la route 

Dans ce reportage de 1924, c'est le Tour de France cycliste qu'il met en lumière. Le moment est héroïque et le journaliste, halluciné, nous donne de l'exploit, de la souffrance, des drames qui l'émaillent, une échographie d'un naturalisme époustouflant ! Le Musée de la littérature sportive l’affiche comme référence avec fierté En passant, villes, villages et habitants sont décrits d'un trait génial. À un cycliste au ravitaillement, un monsieur plein de sollicitude : « Vous avez le temps, trois minutes… », le cycliste rétorque : « Non, monsieur le notaire, ce n'est pas que je sois pressé, mais mon masseur m'attend à deux cents kilomètres d'ici pour me remettre le cœur en place, alors, vous comprenez… » La réplique est à mettre au crédit de Jean Alavoine. 

Dans la Russie des Soviets 

Albert Londres est le premier journaliste occidental à se rendre, en 1920, au prix d'un voyage kafkaïen, au cœur de la République des soviets, à Petrograd, aujourd'hui Saint-Pétersbourg. Sans fioritures, il nous rapporte ce qu'il voit, ce qu'il entend. Il donne à sentir  — déjà ! — la mesure de sa terreur devant le spectacle qu'il découvre. L'homme tel qu'il sera tant que durera ce « paradis » pour lequel ont bandé des légions d'imbéciles manipulés : un chien, monsieur Londres.

Prémonitoire, il écrit ceci à propos du bolchevisme : « l'acte fondamental de leur doctrine est l'antiparlementarisme… » Un sujet, on ne peut plus brûlant, au pays du 49-3 !

Un peu plus loin, Londres chasse le clou : « Le bolchevisme n'est pas l'anarchie, c'est la monarchie, la monarchie absolue, seulement le monarque, au lieu de s'appeler Louis XIV ou Nicolas II, se nomme Prolétariat 1ᵉʳ. »  

Si ce changement d'appellation ne vous suggère rien, le toubib ne vous sera d’aucune aide. 

L'Homme qui s'évada 

Magnifique récit sur la vie d'Eugène Dieudonné, jeune ébéniste, militant anarchiste, homme de bien, condamné comme complice de la bande à Bonnot, alors qu'il n'a rien à voir avec elle. Seulement la justice française, jamais avare d'une injustice, ne l'entendant pas de cette oreille, l'expédie aux îles du Salut. De son arrivée à son évasion, tout est conté au fil du rasoir. Un livre qui se lit comme un roman et se crache comme on crache sa haine à la face d'une justice de classe. Des hommes ayant perdu jusqu'au souvenir de leur nature, tant les conditions sont hideuses. Albert Londres donna beaucoup de sa personne pour rapatrier Dieudonné en 1927, avec, disons-le, le concours actif de la justice brésilienne, persuadée que le forçat évadé avait été victime d'une injustice.

Comme toujours, la France fut dernière à innocenter l'innocent qu'elle avait envoyé en enfer ! Sans même un mot d'excuse de la part de la grande institution, Dieudonné pouvant s'estimer heureux qu'elle consente à descendre de son piédestal pour le « blanchir » !

Terre d'ébène  

De loin le plus dense de ces quatre reportages. Embarqué pour un périple de quatre mois qui le conduira au Sénégal, au Niger, en Haute-Volta (Burkina-Faso), la Côte d'Ivoire, c'est un Albert Londres révolté qui se dresse sur le chemin du colonialisme. Sans concession. Le ton est cassant. Avec objectivité et colère, il dénonce, fustige et condamne une politique d'où la France et sa grandeur ne sortent pas grandies. Encore une fois, le reporter, fera honneur à sa devise : « Je demeure convaincu qu'un journaliste n'est pas un enfant de chœur et que son rôle ne consiste pas à précéder les processions, la main plongée dans une corbeille de pétales de roses. Notre métier n'est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est de porter la plume dans la plaie. » 

Prenez bonne note, ô larbins médiatiques ! Ce reportage lui valut quelques solides inimitiés et autant de menaces de la part des forces conservatrices du sabre et du goupillon. 

Collection Arléa - diffusion Seuil – prix du volume entre 7 et 8€, mais gaffe à l’inflation !

Sous l’Casque d’Erby 

Semaine 12


 

dimanche 24 mars 2024

Les prêts-à-tuer sont dans les starting-blocks !

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Les temps sont au grotesque. À ce ridicule criminel qui laisse des traces indélébiles dans l’histoire. Ces temps qu’on ne pourra pas évoquer plus tard sans ressentir un grand sentiment de honte, au point de regretter d’avoir été le témoin et même le complice d’un crime.
L’histoire présente et notre avenir sont entre les mains de grossiers échantillons d’humanité, n’ayant de la vie et de l’histoire des pays qu’on leur confie, qu’un grand mépris. Du président poulet-bicyclette (c’est ainsi qu’on nomme en Afrique la volaille peu en chair), se prenant pour un Musclé de foire, au dernier Gamelin venu, tous, veulent voir du sang sur le trottoir. 
C’est le black friday du prêt-à-tuer ! 
Leurs nuits ne sont qu’éviscération et dislocation ! Jack l’éventreur ? Un vulgaire amateur ! Ils ne dorment plus, ils fantasment un héroïsme au rabais, tapi dans les replis de leur lâcheté. Quand on dit le sang, on ne parle pas du leur, mais de celui des « fils et des filles de la France » qu’ils voudraient sacrifier, comme on sacrifie un poulet dans un rituel vaudou.
Tout cela, afin d’empêcher un ennemi imaginaire de nous envahir, alors que nous sommes déjà sous l’emprise de notre véritable ennemi, celui que nous nourrissons avec notre crédulité.
Pour qu’une guerre soit possible, il faut du conditionnement, du mensonge et un terreau. Il faut que les moyens de l’information et de la diffusion soient sous contrôle. Ils le sont. Ne reste plus qu’à appliquer le principe des neurosciences cognitives comme on fait dans le marketing, afin d’obtenir l’aval du consommateur, autrement dit l'opinion publique ! Le fait n’est plus contestable ! La guerre, c'est la fabrication de deux camps furieusement opposés. Ne l’emporte que le camp disposant de moins de scrupules, d'humanité. Le reste, c’est de la littérature pour des gens n’ayant jamais mis un pied dans le bourbier d'une guerre ni senti l’odeur du sang dans la nourriture qu'on avale au milieu des cadavres. Pas plus qu'ils ne comprennent la douleur des parents perdant le fruit de leurs entrailles pour satisfaire au plaisir d'une minorité sanguinaire !
De Gaza en Ukraine, ça ne fait qu’un pas vite franchi par des barbares qui fomentent les guerres sans jamais la faire, et ceux qui bêlent au son du tambour, courant vers l’abattoir comme on se rend à une manifestation sportive !
 
Sous l'Casque d'Erby 
 

 

mardi 19 mars 2024

Je m’en fous des européennes, je vote Poutine !

Erby
De temps en temps, lors d’une campagne de télévente, comme les escrocs en organisent continuellement, on m’invite à répondre à un questionnaire sur l’énergie. Sur l’habitat. Sur la qualité de prestation de tel ou tel « opérateur ».
Récemment, c'était à propos des élections européennes. Un institut dont je n’ai pas retenu le nom, souhaitait savoir si... Je vous passe les détails de mon défoulement.
Si vous avez ou n’avez rien d’autre à faire… Une batterie de questions vous est soumise, afin de « donner de votre temps », en instruisant un ennemi invisible sur vos idées, vos penchants, vos « besoins ». Et – c’est la carotte – savoir si vous êtes éligible à l’aide de l’État dans n’importe quel domaine !
Qui ne tente rien, n’est-ce pas ?
Quel que soit l’emballage, cela s’appelle du harcèlement. Comme cela est le cas depuis que le téléphone existe et depuis que des petits malins censés protéger votre vie privée, se font de la maille en vendant nos données, nous rangeant dans telle ou telle étagère !
Désormais, quand un numéro inconnu (jamais le même) me gratte l’oreille, je ne laisse pas le temps à l’intrus d’étaler sa mixture. Direct au grain : « Écoutez, j’en ai marre d’être heureux. Pour tout vous dire, je n’en peux plus du bonheur qui me submerge et m’empêche presque de respirer. De grâce, allez proposer votre marchandise à des gens qui en ont vraiment besoin. Merci. » Et je raccroche. Ou c’est le contraire.
Il m’arrive de céder à la tentation, de croire en l’utopie d’un système désintéressé. Je réponds patiemment à des questions sur l’âge, les revenus, la surface du lieu d’habitation, le nombre de personnes partageant le toit, la superficie du jardin, etc. Big Brother ne néglige rien dans sa soif de savoir !
Je me prête au jeu avec un brin de curiosité et d’amusement, mais trop, c’est trop !
Avez-vous déjà vu un État, dépouillant l’oligarque pour l’épanouissement des nécessiteux ? Ce ne serait plus l’État, mais des révolutionnaires exaltés par l’idéal de la Révolution Sociale !
Les choses se gâtent quand je réponds à la question sur mon âge. Là, c’est silence brutal et rupture de communication. Ni bonjour ni bonsoir, le vide est en toi. Pas de commentaire, du genre : désolé, mais vous n’entrez pas dans les critères d’éligibilité. Rien ! Tu restes planté là, comme un con, te demandant où la chose a foiré. On te ferme le clapet sans aucune explication !
Par le fait, on découvre que vous êtes trop vieux pour espérer. À partir d’un certain âge… 
Bientôt, même les soins seront un luxe ! 60 euros la consultation chez le généraliste, qu’on nous annonce ! Sous peu, nous aurons des médocs, mais pas de quoi nous nourrir !
Autant laisser aller la barcasse vers la rivière sans retour. Si c’est pour te faire prescrire du Rivotril afin de guérir un rhume saisonnier, autant attendre chez soi que le glas sonne en comptant les gouttes de pluie sur le toit. 
Macron n’a-t-il pas déclaré récemment qu’il fallait « regarder la mort en face », à propos des viocs qu’il cherche à défalquer ?
Pour ma part, en ce qui le concerne, je suis prêt à lui rendre ce service dès maintenant !
 
Sous l’Casque d’Erby 
 

 

lundi 11 mars 2024

Macron : se souvenir ou ne pas oublier ?

Erby
Emmanuel Jean-Michel Frédéric Macron est né un 21 décembre dans la Somme. Que l’on nous dit ! Tout est tellement brouillé chez lui !
Du signe du Sagittaire, il est lié à l'élément du feu. Est-ce pour cela qu’il cherche constamment à faire la guerre ? À la lumière d’une agitation constante et de pulsions maladives, nous sommes en présence d'un pyromane multirécidiviste !
Fils de papa-maman exerçant tous deux dans le milieu médical, petit Macron drope chez les jésuites d’Amiens de la sixième à la première avec l’énergie d’un pur-sang.
D’Amiens à Paris, un billet de train suffit pour le faire atterrir au lycée Henri-IV, où il obtient le bac S avec mention très bien. C’est du moins ce que l’on dit, car tout est sujet à caution en ce qui le concerne, de l’avis de ceux qui s’en sont intéressés au personnage et dont les avis convergent.
Après, c’est hypokhâgne et khâgne, toujours à Henri-IV. Mais, petit coup de fatigue, il échoue au concours d’entrée à l’École normale supérieure. Pas grave, le gars finit par obtenir une maîtrise, DEA de philosophie à l'université de Paris-X-Nanterre.
Diplômé à 24 ans de l'Institut d'études politiques de Paris (2001), il étudie à l'ENA, à Strasbourg, de 2002 à 2004 dans la promotion Léopold Sédar Senghor, pour laquelle le classement final est annulé par le Conseil d'État (?!). Ce qui ne l’empêche pas d’être affecté à l'Inspection des finances, d’où il démissionne, titillé par on ne sait quel démon.
Dès lors, on le retrouve banquier d'affaires chez Rothschild & Cie sur recommandation de... Jacques Attali ! Une référence, l’Attali ! Collé comme un ormeau à l’oreille de tous les présidents français depuis Mitterrand, il sait dénicher la bonne bête !
Sans être encore un partisan déclaré des idées guévaristes, Emmanuel Macron apparaît comme un dissident rothschildien ayant gagné le maquis pour mener une guerre totale contre la pornographie capitaliste !
À ce stade de la conscientisation, il rejoint le Lider Maximo des Tupamaros français, Francisco Holanda, surnommé par ses pairs de Izquierda Revolucionaria, le « Fossoyeur » pour avoir creusé le trou dans lequel il a jeté la dépouille du socialisme à la française par une nuit sans lune.
Les lois sur le travail du dimanche, le travail de nuit, lors de l'exercice de son ministère de l’Économie sous les ordres du Fossoyeur, ne sont-elles pas annonciatrices de ce qu’il fait subir au pays depuis son élection à la présidence ? Le début d’un fascisme larvé à faire pâlir les plus ardents théoriciens de ce système politique !
Ce guérillero New-Age, addict et mégalo, avec treillis trois pièces, cousu par des couturiers sous acide, ne laisse aucune chance à ses ennemis mortels, les peuples français et russe, cherchant un choc frontal avec Vladimir Poutine et la Fédération de Russie depuis que l’Otan l’a ainsi décidé.
Dès sa prise de fonction à la tête du pays, sa mission est on ne peut plus claire : détruire un maximum de commerces et son lot de petits bourgeois, cette classe moyenne faisant le lien entre le haut et le bas de la société, est de trop ; se défaire du surplus de viocs, ne servant qu’à parasiter l’économie, empêchant les actionnaires de profiter pleinement de leurs gains ; traumatiser la jeunesse, l’empêchant de vivre une vie normale, la poussant au suicide par manque d’avenir ou à l'envoyer au casse-pipe en Ukraine. Confiner tout un peuple et l’obliger à se faire vacciner, avec des vaccins expérimentaux aux effets secondaires mortifères, c’est son œuvre. N’a-t-il pas déclaré : « nous les aurons, ces connards », se référant à ceux qui refusaient le poison ? N’a-t-il pas attisé les antagonismes, donnant carte blanche aux communautés, les poussant jusqu’au bord de la guerre civile, crachant sur le pays une bile haineuse, sans jamais intervenir pour apaiser comme c’est le devoir d’un Chef digne de ce nom ? Démonté l’économie, en générant du chômage et laissé aller la dette du pays jusqu’à la faillite ? Faire piquer massivement les français dans le but d’enrichir multinationales, laboratoires et cabinets-conseil ? Réduire la France à une province de la galaxie globaliste, afin de favoriser une immigration massive, grâce à l’étoile gravitationnelle, Soros, militant du grand remplacement, pour qui le monde est un grand parc d’attraction et les humains des animaux de compagnie ?
Macron est l’Élu de l’élite, que personne dans la classe politique n’ose chasser. Pourquoi ?
 
Sous l’Casque d’Erby 
 

 

samedi 2 mars 2024

Si l’Ukraine m’était contée

M art' IN
Ceux qui sont solidaires de l’Ukraine, alors même qu’ils ne connaissent pas le pays, ni ce qui s'y passe réellement. Pas plus qu’ils ne savent comment tout ce chaos a été orchestré, ne se doutent pas qu’ils se trompent lourdement. Au point que cette erreur est aussi grave que le crime lui-même.
Soutenir une « mauvaise » cause arrive à n'importe qui. Moi qui vous parle, j’ai bien souvent donné dans le panneau. Mais refuser de chercher, d’ouvrir les yeux, par obstination ou par confort, nous rend complices de choses aussi graves que celles que nous dénonçons. Cela, nous ne pouvons plus l’accepter aujourd’hui, car il y va de notre survie.
N’invoquons pas la télé, sans négliger son importance, le poids de la propagande, l’insidieuse manipulation mentale dont nous faisons l’objet en permanence, ce que les journaux matraquent à cor et à cri, sur injonction de leurs richissimes propriétaires.
Il existe d’autres façons de s’informer et cela ne nous exonère plus !
Ne nous laissons pas embarquer dans une galère dont nous serons à coup sûr les rameurs et non les heureux bénéficiaires d’une croisière dans les Cyclades.
Si quelques égarés, nourris au lait de l’empathie (et cela n'est pas un défaut), poussent pour nous faire adhérer à une campagne de solidarité, ne perdons pas de vue que l’Ukraine, bien avant l’intervention de la Russie, n’était pas le paradis que l’oligarchie nous vend pour nous entraîner vers notre perte : mafia, trafic d'organes, d’armes, de drogue, prostitution et enlèvement d'enfants pour approvisionner en « chair fraîche » le cartel des réseaux pédophiles du monde, voilà la vérité !
En outre, c’était – et cela continue de l’être – un refuge pour nostalgiques du nazisme « revisité » ; un paradis de l’argent sale ; le terrain de jeu de la CIA, dont on ne compte plus les laboratoires clandestins qu’elle nie avoir implantés, alors que la presse américaine est en train d’en lever le voile. Labos qui n’ont rien à voir avec la démocratie et beaucoup avec les prédateurs du pouvoir profond !
Réfléchissons avant de brandir banderoles et calicots pour soutenir ou agonir Untel ou Untel !
Ceux qui ont suivi le cours des événements depuis une dizaine d’années et plus – et qu’on a traités de complotistes – savent qui sont les provocateurs et quel est le véritable dessein d’une ingérence dans la politique intérieure d’un pays souverain, dont le but est de déclencher une Troisième guerre mondiale, si nécessaire ! De s’approprier un pays en grignotant et affaiblissant un autre, la Russie, pour, à terme, se l’adjuger !
Napoléon et Hitler ont essayé en leur temps. Chassez la bête, elle revient toujours !
Ce que vous prenez pour soutien n’est que caution : avaliser le transfert des économies des pays du continent européen dans les poches de trafiquants, utilisant la guerre comme tremplin pour se remplir les poches.
L’argent pouvant servir à faire fonctionner correctement les économies européennes, agricultures, hôpitaux, aides sociales, éducation, travail, envolé par la volonté d’une clique installée au pouvoir, avec la volonté de nous détruire.
Informons-nous pour savoir dans quel but précis Black Rock, Rothschild et autres milliardaires globalistes ont acheté plus de 50 % de terres agricoles ukrainiennes, alors que les gouvernements de l'Union font tout pour dépouiller nos paysans. N'est-ce pas dans l’intention d'exercer un contrôle absolu sur la production de nourriture, et par la même occasion asservir les peuples ?  
Dernier avatar, de la part de monsieur Macron et de sa bande de nuls malfaisants, la loi militaire qu’il a fait voter. Oh, rien, sinon un tour d’écrou supplémentaire dans sa marche vers le fascisme.
Cette loi permet la « réquisition de toute personne ou entité, physique ou morale, ainsi que tout bien ou service nécessaire, si une menace, actuelle ou prévisible, pèse sur les activités essentielles à la vie de la nation. » 
Le gouvernement justifie cette mesure en affirmant qu’elle est cruciale pour faire face à d’éventuelles crises majeures, qu’elles soient d’ordre sécuritaire, sanitaire ou autre.
Toujours d’accord pour avaler de l’anaconda, pensant déguster une bonne entrecôte ?
 
Sous l’Casque d’Erby 
 
 

dimanche 25 février 2024

Ma mule a fait un pet dans l'écurie

On floque sur les murs de Paris des étoiles de David, pour dénoncer les massacres de Gaza par Israël, et le coupable est tout trouvé. Ne cherchez pas, c’est fastoche. La silhouette de Poutine se dessine en ombre chinoise sur les murs de la capitale, tel ce génie du mal, connu de tous, criminel parmi les criminels : Moriarty !
Les Sherlock des officines occidentales ont réussi à le débusquer malgré une cautèle de félin !
Banques, lobbies et politiciens forment la trinité de la mafia gouvernante et le bras armé des globalistes, dont le but consiste à défoncer les « inférieurs », afin de se perpétuer.
Quand la société tombe en ruine, c’est la faute de ceux que l’on dépouille, au nom d’une volonté intangible !
Les siècles passent, l’horreur demeure !
On démonte l’agriculture au profit des gros groupes de l’agroalimentaire ; on pousse le petit producteur au suicide ; on interdit tout ce qui est naturel et bon, mettant le monde agricole de l’Europe dans une colère noire, et la seule réponse que l’on donne : faire passer le permis de conduire tracteur à une corporation exsangue !
Je ne sais pas qui peut encore croire les sornettes qu’on raconte dans les médias ? Mais ce que l’on sait sûrement, c’est qu’en sacrifiant les agriculteurs, on condamne l’humanité. Et ça, ils le savent, tout en haut !
« Mais qu’est-ce qu’ils sont violents, ces ploucs », râlent-ils, essuyant quelques micro-particules de fumier d’un revers méprisant !
Le cynisme bat son plein, comme la semelle paysanne bat le bitume : « les smicards préfèrent des abonnements VOD à une alimentation plus saine  », aurait lancé l’illégitime en privé, désignant les « sans dents » de son prédécesseur. Propos qu'il nie avoir tenus, au Salon des CRS, pardon, au Salon des payses !
Mangeons nos excréments, puisque c’est ce qu’ils pensent que nous méritons ! Puis, admettons-le, vu les merdes que l’on nous sert dans les vidéos à la carte, le plus dur est déjà fait ! Un petit pas de plus ou de moins… 
Votre plat du jour au Salon : en entrée, les flics. En plat de résistance, l'affrontement. En dessert, les urgences, fermées par la très sainte trinité, Sarko-Hollande-Macron !
Aucun gouvernement local (avec l’Europe, la souveraineté nationale, c'est clopinettes), de gauche ou de droite, ne peut, dans le schéma actuel, faire autre chose qu'appliquer les consignes venues de l'UE. Son rôle se limitant à faire croire le contraire auprès des citoyens naïfs et une jeunesse totalement larguée. Des futurs zombis, condamnés à errer dans la galaxie de centres sociaux et des pôles emploi jusqu'à perpète.
Croire qu’un vote peut tout changer, c'est aussi improbable que gagner une élection sans tricher.
Tant qu’on ne renversera pas la table et que nous chassions de l’escroc comme on tire la palombe, rien de fondamentalement humain ne sortira des urnes. La politique n'est que la forme officielle du bonneteau, jeu d'escrocs bien connu pratiqué en équipe, avec un manipulateur, plusieurs complices et des badauds en quête de miracles.
Et si nous passions à des choses simples et remplacions la campagne « Zéro carbone », par celles, plus justes et humaines, de « Zéro corruption » et « Zéro crime contre l’humanité » ?
Ce n’est pas dans les urnes, c’est dans la rue qu’on fait sauter les chaînes !
 
Sous l’Casque d’Erby